Sous une lumière blafarde
Court, danse et se tord sans raison
La vie, impudente et criarde
Aussi, sitôt qu’à l’horizon
La nuit voluptueuse monte,
Apaisant tout, même la faim,
Effaçant tout, même la honte,
Le poète se dit : « Enfin !
« Mon esprit, comme mes vertèbres,
Invoque ardemment le repos;
Le cœur plein de songes funèbres,
« Je vais me coucher sur le dos
Et me rouler dans vos rideaux,
Ô rafraîchissantes ténèbres! »
LA FIN DE JOURNÉE, 1861
Tableau, Lesser 1861:
On voit que le poème et le tableau on un "lien", car dans l’ensemble poème, on parle de fin de journée, et sur le tableau on voit aussi qu’onnest dans cette fin de journée. En effet le soleil s’est couchée ernest la nuit apparaît peu à peu.
Les personnes représentés sur le tableau on certainement pris leur journée de travail et vont certainement se reposer, ainsi on peut faire la comparaison avec le poète qui se dit être fatigué et qui souhaite aller se coucher aussi.
Jana Falcy